Digital detox montagnarde et réflexion sur les aléas du remote work
mariedolle.substack.com
Chers lecteurs, j’espère que vous profitez de ce dimanche matin. En ce qui me concerne, je suis à la montagne, la vue sur le lac Léman est superbe, je suis très inspirée … mais sans wifi, pire encore sans réseau internet. Oui, en 2020, il existe encore des endroits qui échappent à la connexion … et il a fallu que ça tombe sur moi. Me voici donc contrainte de reporter l’édition de mon article sur l’OSINT, aka open source intelligence ou en français renseignement de source ouverte. Courage, vous allez survivre sept jours sans parcourir ma prose, je le sais. Et puis je ne vous laisse pas sans lecture, vu que je suis en train de vous composer un court édito sur mon écran de smartphone, une réflexion sur la question du remote work, question qui a suscité de nombreuses réactions sur un groupe WhatsApp que je fréquente. Prions juste que j’ai assez de réseau pour éditer ; si vous parcourez ces lignes, c’est que j’y suis parvenue et que les dieux du digital sont avec moi.
Digital detox montagnarde et réflexion sur les aléas du remote work
Digital detox montagnarde et réflexion sur…
Digital detox montagnarde et réflexion sur les aléas du remote work
Chers lecteurs, j’espère que vous profitez de ce dimanche matin. En ce qui me concerne, je suis à la montagne, la vue sur le lac Léman est superbe, je suis très inspirée … mais sans wifi, pire encore sans réseau internet. Oui, en 2020, il existe encore des endroits qui échappent à la connexion … et il a fallu que ça tombe sur moi. Me voici donc contrainte de reporter l’édition de mon article sur l’OSINT, aka open source intelligence ou en français renseignement de source ouverte. Courage, vous allez survivre sept jours sans parcourir ma prose, je le sais. Et puis je ne vous laisse pas sans lecture, vu que je suis en train de vous composer un court édito sur mon écran de smartphone, une réflexion sur la question du remote work, question qui a suscité de nombreuses réactions sur un groupe WhatsApp que je fréquente. Prions juste que j’ai assez de réseau pour éditer ; si vous parcourez ces lignes, c’est que j’y suis parvenue et que les dieux du digital sont avec moi.