En conduite de carrière nous incitons ceux que nous accompagnons à regarder le grand paysage (horizon ?) pour trouver tout ce que vous évoquez, et être en marche, vers eux-mêmes, vers les autres, le "carburant" de la dynamique…mais aussi à regarder le petit paysage pour éviter de se faire une entorse en route vers le grand paysage.
Ne pas sacrifier le présent pour un futur trop éloigné et tellement chahuté ; ne pas sacrifier cet horizon au profit d'un présent presbyte…
Merci de mettre l'humain (nous) face à ses (nos) contradictions.
Comme tu l'écris très justement il est encore temps d'être présents, d'incarner ces enveloppes charnelles dont la nature nous a dotés, d'habiter et de faire vivre nos propres âmes. Car cela, les machines ne pourrons jamais l'imiter.
Et si le véritable horizon, ce n'était pas l'autre ? Pour l'envisager cet autre, nous sommes naturellement équipé d'un formidable outil, la conversation. Au-delà du langage, elle permet la présence à son interlocuteur et la présence à soi. Merci Marie pour cette chronique dominicale !
La ligne d'horizon évolue mais nous permet de voir clair sur la beauté, qui transcende nos corps et nos esprits.
Et transcender c'est aller au delà d'une ouverture de conscience pour être présent à soi même et à une part supérieure de nous. Alors le Verbe se fait chair
Encore une pensée d'une grande profondeur !
En conduite de carrière nous incitons ceux que nous accompagnons à regarder le grand paysage (horizon ?) pour trouver tout ce que vous évoquez, et être en marche, vers eux-mêmes, vers les autres, le "carburant" de la dynamique…mais aussi à regarder le petit paysage pour éviter de se faire une entorse en route vers le grand paysage.
Ne pas sacrifier le présent pour un futur trop éloigné et tellement chahuté ; ne pas sacrifier cet horizon au profit d'un présent presbyte…
MERCI !!!
J’aime beaucoup cette idée : “regarder le petit paysage pour éviter de se faire une entorse en route vers le grand paysage.”
Une belle leçon de sagesse.
Belle amorce pour un regard bien droit vers l'horizon, vers nos semblables, merci
"Le dernier chiasme sera celui du regard." Bienvenue en poésie Marie.
Merci de mettre l'humain (nous) face à ses (nos) contradictions.
Comme tu l'écris très justement il est encore temps d'être présents, d'incarner ces enveloppes charnelles dont la nature nous a dotés, d'habiter et de faire vivre nos propres âmes. Car cela, les machines ne pourrons jamais l'imiter.
Et si le véritable horizon, ce n'était pas l'autre ? Pour l'envisager cet autre, nous sommes naturellement équipé d'un formidable outil, la conversation. Au-delà du langage, elle permet la présence à son interlocuteur et la présence à soi. Merci Marie pour cette chronique dominicale !
Tres juste :)
Encore un article inspirant : merci Marie.
Évaporation ou ascension?
Il ne tient qu’à nous de faire le distinguo ;)
Le chiasme est il métaphysique ?...
La ligne d'horizon évolue mais nous permet de voir clair sur la beauté, qui transcende nos corps et nos esprits.
Et transcender c'est aller au delà d'une ouverture de conscience pour être présent à soi même et à une part supérieure de nous. Alors le Verbe se fait chair