En lisant ton article, je pensais à un tableau que j'ai vu lors de la visite de l'expo Intime, de la chambre aux réseaux sociaux. Ce tableau présente le quotidien d'une femme dans les années 50 qui s'occupe de son intérieur et qui n'a comme contact avec l'extérieur une fenêtre, petite. Je trouve ce parallèle/opposé troublant. Toujours une histoire de fenêtre pour regarder le monde...
J'espère que tu as vu cette expo parfaitement en ligne avec tes sujets ?
Je suis en phase avec une partie de ce que vous écrivez mais en même temps ça m'agace un peu que tout y soit négatif et qu'il y ait un amalgame entre le temps passé sur les écrans et la qualité de ce qu'on peut y trouver.
Je me promène dans la rue et je ne vois pas une majorité de gens qui regardent leur smartphone; dans le métro certes oui mais que cela signifie-t-il ? Cela peut-être pour lire un journal en ligne ou substack (d'ailleurs combien de gens lisent substack autrement que sur leur smartphone ?).
Merci en tout cas pour l'article, ça fait réfléchir :)
Le constat ne cherche pas à être totalisant, mais à mettre en lumière un basculement… Peu importe que l’écran diffuse du vide ou du contenu de qualité, il nous soustrait au monde tangible. Je me demande si la véritable frontière entre la machine et l’humain n’est peut-être pas la conscience… mais la présence !
Oh wahou merci pour ce partage ! Nombre de détails que j'ai découverts en levant le nez que personne n'avait vus ; je me suis toujours sentie chanceuse d'avoir gardé cette curiosité enfantine de regarder ce qui se passe autour de moi.
Nous voici non-êtres selon Marc Augé. Rien de grave car le non être est un objectif zen dans une démarche de non dualité mais ici c'est d'absence d'être dont il est question et là est le danger pour Marie Dollé
Merci ! Belle distinction entre deux absences d'ego: le non-être zen, présence intensifiée au monde, et le non-être du smombie, déconnexion totale. L'un est pratique consciente, l'autre abdication passive. C'est bien cette inversion des valeurs qui m'inquiète: de la contemplation active à la consommation passive …. 😬
Chère Marie, si vous m'y autorisez. Le zen peut amener à un changement d'état de conscience le smombie selon moi non. L'un est une ouverture, l'autre une fermeture. Alors oui c'est une inversion de valeurs mais lun amène à un vide constructif l'autre a un néant qui est une impasse. Ce cycle vient juste de commencer il faut donner du temps à l'Homme pour en faire le tour ou le demi-tour
Super post, Marie! Je pense qu’un vibe shift est en cours. Beaucoup de frustration monte face au statu quo des réseaux sociaux…La stat sur la Corée du Sud m’a direct fait penser à l’épisode Smithereens de Black Mirror—un récit vraiment d’actualité.
Love it
En lisant ton article, je pensais à un tableau que j'ai vu lors de la visite de l'expo Intime, de la chambre aux réseaux sociaux. Ce tableau présente le quotidien d'une femme dans les années 50 qui s'occupe de son intérieur et qui n'a comme contact avec l'extérieur une fenêtre, petite. Je trouve ce parallèle/opposé troublant. Toujours une histoire de fenêtre pour regarder le monde...
J'espère que tu as vu cette expo parfaitement en ligne avec tes sujets ?
Je n'y suis pas encore allée, je crois que j'ai jusqu'au 30 mars ! Je me le note. Merci, Bernard :)
Merci pour cette invitation à lever les yeux et réenchanter la ville
Je suis en phase avec une partie de ce que vous écrivez mais en même temps ça m'agace un peu que tout y soit négatif et qu'il y ait un amalgame entre le temps passé sur les écrans et la qualité de ce qu'on peut y trouver.
Je me promène dans la rue et je ne vois pas une majorité de gens qui regardent leur smartphone; dans le métro certes oui mais que cela signifie-t-il ? Cela peut-être pour lire un journal en ligne ou substack (d'ailleurs combien de gens lisent substack autrement que sur leur smartphone ?).
Merci en tout cas pour l'article, ça fait réfléchir :)
Le constat ne cherche pas à être totalisant, mais à mettre en lumière un basculement… Peu importe que l’écran diffuse du vide ou du contenu de qualité, il nous soustrait au monde tangible. Je me demande si la véritable frontière entre la machine et l’humain n’est peut-être pas la conscience… mais la présence !
Bravo, encore une fois. Belle semaine
Merci Sacha - de même :)
Oh wahou merci pour ce partage ! Nombre de détails que j'ai découverts en levant le nez que personne n'avait vus ; je me suis toujours sentie chanceuse d'avoir gardé cette curiosité enfantine de regarder ce qui se passe autour de moi.
Absolument :)
Nous voici non-êtres selon Marc Augé. Rien de grave car le non être est un objectif zen dans une démarche de non dualité mais ici c'est d'absence d'être dont il est question et là est le danger pour Marie Dollé
Merci ! Belle distinction entre deux absences d'ego: le non-être zen, présence intensifiée au monde, et le non-être du smombie, déconnexion totale. L'un est pratique consciente, l'autre abdication passive. C'est bien cette inversion des valeurs qui m'inquiète: de la contemplation active à la consommation passive …. 😬
Chère Marie, si vous m'y autorisez. Le zen peut amener à un changement d'état de conscience le smombie selon moi non. L'un est une ouverture, l'autre une fermeture. Alors oui c'est une inversion de valeurs mais lun amène à un vide constructif l'autre a un néant qui est une impasse. Ce cycle vient juste de commencer il faut donner du temps à l'Homme pour en faire le tour ou le demi-tour
Bonne soirée à vous
Alain
Une réflexion qui résonne profondément. Merci Marie.
Merci Chanlinda :)
Super post, Marie! Je pense qu’un vibe shift est en cours. Beaucoup de frustration monte face au statu quo des réseaux sociaux…La stat sur la Corée du Sud m’a direct fait penser à l’épisode Smithereens de Black Mirror—un récit vraiment d’actualité.
Excellent et juste. Comme souvent. Merci Marie. Je relaie à mes proches
Merci Jean-Marie :)
La nowstalgie, que c’est joli.